Do the Right Thing

Publié le : 09 janvier 20183 mins de lecture

kkPeu de films me ont réussi à laisser en larmes au générique de fin apparition: La Vita e bella, Nuovo Cinema Paradiso, et maintenant faire la bonne chose. Le premier succès de Spike Lee (et probablement son meilleur film), Do the Right Thing n’est pas un film typique de « da hood ». On ne parle pas de rap, de voitures, de drogues, de femmes, mais c’est un film qui glisse sur le racisme, un thème très délicat que certains réalisateurs traitent très superficiellement. Ce n’est pas le cas de Spike Lee, qui écrit, dirige, produit et joue dans ce qu’on peut appeler le meilleur « film noir » de tous les temps.

L’action du film se déroule en une seule journée sur une seule rue. C’est le jour le plus chaud de l’année et tout le monde se plaint à ce sujet. Sur cette rue de Brooklyn à New York vivent Porto Rican, Black, italo-américain, coréen et blanc, mais cela ne semble pas nuire à personne. Pizzeria Sal (Danny Aiello, nominé pour un Oscar pour ce rôle) est de 25 ans dans le quartier, et il est de coutume de faire l’éloge des gens ici a laissé pousser sa nourriture. Dans cette pizzeria, Mookie (Spike Lee) travaille comme agent de livraison. Grâce à l’infrastructure dans le quartier, mieux découvrir ce monde et persoanjele son coloré: Smiley retardera, qui vend des photos « MMM-Malcolm X et MMM-Martin Luther King » avec un ou deux dollars américains chacun, sur Radio Raheem, un grand homme qui a marché toute la journée avec un magnétophone dans ses bras, écouter de la musique dans une vagabonde Do the Right Thing (1989) en état d’ébriété a appelé le maire (parce que toute la journée dans les rues, pour faire), des groupes d’adolescents (vous voir premier long métrage Martin Lawrence dans le rôle d’un escroc avec des problèmes d’élocution), DJ de la station de radio du district (Samuel L. Jackson), qui sont assis 12 heures par jour sur les boutons, ce qui rend une chronique en direct la vie dans la rue et les trois fainéant que la sainte journée assis sur des chaises dans le coin et les commentaires, commérages et jurant Do the Right Thing (1989) (en passant, le mot « fuck » apparaît 240 fois en film, c’est-à-dire deux fois par minute). Cette journée chaude commence quelque peu normale. Mookie est en retard à la pizzeria, est pris par son patron Sal et son fils raciste, Pino (John Turturro). A partir de maintenant, Spike Lee nous présente une tranche de la vie de ce quartier. Mais ce sont des choses de surface, parce qu’une tension profonde commence à se former, et soudain le film éclate en violence raciale. Nous n’avons ni caractères positifs ni négatifs. Tout le monde a sa part à blâmer pour ce que vous verrez si vous regardez le film.

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