The Wolfman

Publié le : 08 janvier 20184 mins de lecture

jnCombien de films avec ou sur les loups-garous ont été réalisés jusqu’à maintenant? Combien de fois avons-nous été confrontés à de telles productions et chaque fois nous avons choisi la même histoire classique d’amour entre un monstre et une femme? Ici, apparemment, le public n’était pas fatigué de ce sujet, et comme preuve est The Wolfman, réalisé par Joe Johnston, un film réalisé de façon classique, avec un casting et une interprétation exceptionnels. Je ne suis pas un grand fan d’histoires avec des loups-garous, des vampires et toutes sortes de créatures mythiques, mais je dois admettre que The Wolfman m’a donné une bonne impression. Ce n’est pas le genre de production rempli d’effets spéciaux et de scènes d’une exagération spectaculaire, la poursuite de l’action suivant un cours naturel, un peu monotone je dirais.

L’histoire suit Lawrecen Talbot (Benicio Del Toro), un acteur connu non seulement dans son pays natal, qui retourne dans son village natal pour apprendre les nouvelles que son frère a disparu. Une fois à Blackmoor, son père, Sir John Talbot (Anthony Hopkins), l’informa que l’homme avait été retrouvé mort, déchiré par une créature dont les origines étaient encore inconnues. Pris dans une petite histoire d’amour avec Gwen Conliffe (Emily Blunt), le beau-frère de Lawrence, Lawrence essaie de découvrir la vérité et de découvrir ce qui s’est passé dans ces contrées comme oublié par le monde. Mais ce qu’il découvrira, et alors il vivra sur sa propre peau, sera plus qu’il ne peut supporter.

Le Wolfman est le genre de film qui excelle à travers les performances des acteurs, et c’est essentiellement le critère principal pour lequel j’ai aimé The Wolfman de Johnston (2010) 4626578316 3453d9fcf2. Sur Benicio Del Toro je l’ai vu dans les films documentaires Che, un rôle qui lui va bien et qui est resté dans mon esprit. Dans The Wolfman, il ne sort pas et sa performance est plus que bonne, rivalisant avec Hopkins. Ce fut un réel plaisir de voir Anthony Hopkins sur grand écran et à cette occasion il m’a encore une fois démontré le talent inégalé dont jouit cette star du cinéma mondial. Le caractère de Hopkins est original, une typologie humaine de la noble soif dans ce cas, non par la richesse, mais par la puissance et la force que son secret attribue. Il devient une victime de sa propre existence, et finalement, entre Lawrence et John, il y aura une lutte de vie et de mort. Il n’y a pas grand chose à dire sur Emily Blunt. Il a des apparences épisodiques dans lesquelles il se distingue par un dialogue agréable et un geste bien pensé. En fait, le film entier réussit à recréer cette époque, donnant la vérité à une histoire qui peut difficilement être transposée de cette manière.

En conclusion, The Wolfman peut être considéré comme une recommandation pour un week-end, mais je ne sais pas dans quelle mesure la violence au cours de la journée serait un peu plus facile pour le spectateur. J’ai apprécié l’interprétation unique et une atmosphère très bien défini du siècle, mais le film de défaut ne sont pas ignorés, et pour ceux qui attendent un chef-d’œuvre, non seulement restera déçu, mais probablement regretterons temps perdu passé à regarder les près de deux heures de l’histoire.

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