Smiley Face

Publié le : 09 janvier 20183 mins de lecture

vLa propreté du printemps m’a attrapé avec beaucoup de films inachevés, soit par manque de temps, ou, comme dans Smiley Face, en raison de la qualité douteuse de la production. Réalisé par Gregg Araki et mettant en vedette Anna Faris, qui est devenue célèbre après la série Scary Movie, la comédie de 2007 est une détresse visuelle qui prend près de 80 minutes. La durée assez limitée ne rend pas ce film visible, toute l’action ayant un cours trop lent et prévisible. Tout sur les Écritures et le dialogue est la preuve que le jardin du Seigneur est grand, peut-être trop grand pour certains. Bien que Smiley est considéré par certains comme une bonne comédie (même je serais curieux de savoir une telle personne), la seule impression que je suis resté après avoir vu que j’ai perdu au cours d’une poubelle aurait été assez comme un endroit pour ce film impitoyable. L’histoire suit Jane (Anna Faris), qui vit dans un appartement avec un ami. N’étant pas une drogue, elle mange accidentellement les gâteaux «magiques» de son collègue. « Sparta » pour de bon, Jane quitte la maison et se retrouve finalement dans toutes sortes de situations étranges.

Smiley Face est un test de patience, un moyen de vérifier votre santé mentale et en même temps d’apprécier la vie dans le vrai sens du mot. Tout ce qui va avec la soi-disant comédie va être stupide, les blagues étant typiques d’un drogué. Je ne sais même pas qui rirait d’un Smiley Face (2007) comme un film, car elle m’a mis dans un état de sommeil total. Comme je l’ai dit plus tôt, 80 minutes ne m’ont pas empêché de suivre la production pendant au moins trois ou quatre jours. Puisque la pause entre les aperçus était assez longue, je ne me souviens pas du temps total que j’ai passé (mais je pense que ça fait plus de 2 mois). Je sentais déjà que je devais suivre toute l’histoire, car très peu sont les films que je n’ai pas terminés. J’ai vu des idiots encore plus gros, et un autre titre ne gâche pas le record.

J’ai du mal à trouver les derniers mots, l’ensemble de la revue s’avère beaucoup plus difficile que prévu. Comme il n’y a pas de lien logique avec ce qui se passe dans Smiley Face, Anna Faris a une interprétation typique des films de catégorie II et comme il était possible qu’un tel film soit produit en 2007, à la conclusion que la diversité n’est pas un si bon concept.

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