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Publié le : 12 mars 20205 mins de lecture

hNoah Baumbach doit être un nom bien connu les plus intéressés par le phénomène du cinéma indépendant américain, en particulier pour les fans de Wes Anderson, avec qui il a travaillé à plusieurs reprises. Bien qu’il soit à la mode de dire que le cinéma américain ne monte pas à celui du «vieux continent», il existe de nombreuses productions réalisées au-dessus de l’océan qui rivalisent avec le film d’art européen. Le calmar et la baleine est un long métrage basé sur des événements réels dans l’enfance de la star de cinéma Noah Baumbach. Le film a été écrit par Baumbach pour prêcher Wes Anderson, mais celui-ci a décliné l’offre, étant donné une histoire trop personnelle pour être dit par quelqu’un d’autre que son auteur, en essayant de convaincre Noah Baumbach pour diriger ce film seul. Il a fallu quatre ans pour que l’argent soit dépensé sur cette histoire de celluloïd, mais le premier effort de Baumbach a valu une nomination aux Oscars pour sa carrière, renforçant sa réputation parmi les producteurs.

Noah Baumbach a eu la chance de travailler avec quelques acteurs dédiés à leurs nobles métiers. Laura Linney et Jeff Daniels, accompagné par le jeune Jesse Eisenberg, Owen Kline et Anna Paquin, constituent le noyau principal et dirigé en toute sécurité Noah Baumbach présente un petit film, mais franchement, traiter émoussé un thème intéressant et présent: le divorce et l’impact à ceux qui sont impliqués, en particulier les enfants. La famille Berkman est un modèle pour la société américaine dans les années 1980. Les deux conjoints sont les intellectuels intellectuels de New York. Bernard (Jeff Daniels) enseigne la littérature, mais travaillant dans l’édition, ce qui rend le romancier noté 4553820397 92f43409ed un Le calmar et la baleine (2005), même si elle a été des années depuis sa dernière publication, tandis que sa femme il a coopéré avec des journalistes, et ces dernières années aussi avec la fiction. La distance croissante entre leurs performances professionnelles les éloigne également d’une perspective familiale. Bernard traite sa femme froidement, et elle a égaré son partenaire à plusieurs reprises. Le spectre du divorce soulève des conséquences désagréables pour les deux enfants, l’adolescent Walt (Jesse Eisenberg) et le petit Frank (Owen Kline). La garde des deux sera partagée, et cette décision entraîne des frictions entre tous les membres de la famille.

Le film Noah Baumbach, construit sur un scénario très bien écrit, a développé un terrain très rapidement, ce qui permet de traiter base depuis longtemps, le réalisateur a réussi à ne laisser aucun dessin découvert vide soigneusement les relations entre les personnages, regarder en particulier les effets du divorce dans le plan émotionnel. De ce point de vue, The Squid and the Whale ressemble parfaitement à un autre drame familial, l’éloge de Kramer. Kramer. Mais le film de Baumbach a un plus en termes de parler du traumatisme individuel de chaque membre suite à la rupture produite. Jeff Daniels crée un rôle qui pourrait être considéré comme le plus grand succès de sa carrière, obtenant facilement la personne d’un mari et père lointain qui voit le monde à travers les yeux d’un homme supérieur, un intellectuel à la frustration, introvertie difficile à contredire. Les jeunes acteurs sont ceux qui font de ce film, Jesse Eisenberg joue un rôle qu’il est toujours très bien, la face inexpérimentée des adolescents dans des situations difficiles qui ne peuvent venir après avoir appris des erreurs qu’ils commettent et Owen Kline, le fils de Kevin Kline, est la grande révélation, avec un rôle puissant joué dans le bon ton. Pour ceux qui préfèrent les films indépendants et qui sont à l’aise avec le beau thème de Noah Baumbach, The Squid and the Whale est une production qui doit apparaître immédiatement sur la liste de surveillance.

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