Le pianiste

Publié le : 05 janvier 20185 mins de lecture

lOn dit que vous ne pouvez pas vraiment comprendre le drame d’un homme à moins de passer par une expérience au moins semblable à la sienne. Le film pianiste (2002) aborde une période noire de l’histoire, à savoir l’Holocauste. Il a décrit une petite échelle, en termes de pianiste Wladyslaw Szpilman, un survivant du génocide. Wladyslaw Szpilman, Roman Polanski offre un même Derriere, le personnage qui témoins divers crimes et abus dirigés contre les juifs, mais aussi Avec en perspective puisque lui-même le personnage principal tombe dans la catégorie des Juifs, les événements dans la ville prend un péage sur sa vie .

Suis passé par l’Holocauste et fortement influencé par la mort de sa mère dans une chambre à gaz d’un camp de concentration, Roman Polanski se traduit par des images d’un film sur l’Holocauste d’une façon tout à fait différent des autres films. Contrairement à d’autres productions, le héros est pas exagéré, ni sauveur devient un esprit, ce qui représente la position d’un homme simple qui est dans une situation limite est dominée par l’incertitude, le désespoir, la peur. Ceci est l’une des principales raisons pour lesquelles Roman Polanski a refusé de prendre la direction du film La liste de Schindler, car il ne partage pas la même vision sur l’Holocauste.

Régi par la peur et l’insécurité moment suivant, le récit commence par le héros et le travail quotidien, le pianiste à la radio. Puisque la musique est la passion, il donne de la dignité et de la fierté en même temps, voir Szpilman jouer le noble piano, qui est censé le protéger de tout danger, même une guerre. Nous présentons le cadre intime de la famille, auquel nous ne pouvons pas nous attacher suffisamment, car il sera plus tard divisé par les actions des Allemands. Le bannissement de la famille dans un palier du cadre il y a une décomposition thermique de l’univers, et reçoit apparemment indesctructibil.4883654824 b79260c69e Le pianiste (2002)

Enregistré par hasard un ami est entré dans l’hébreu de garde qui a servi l’armée allemande, Szpilman va dans un processus long et douloureux de la survie, la recherche d’une raison de continuer leur vie à une époque où sa famille a disparu, rejoindre des milliers de Juifs dans des camps dont peu parviendront à s’échapper. Protégé initialement par certains membres de la résistance, Szpilman verra par la fenêtre aux événements des affrontements de résistance hébreux avec les Allemands, mais aussi des civils innocents. Peu à peu, la guerre a laissé son empreinte sur la vie solitaire et silencieuse du héros, et il a vécu de longues périodes de famine. Enfin, Szpilman est forcé de quitter sa planque, vers le bas de l’autre côté du mur qui sépare la ville de Varsovie dans une peinture des bâtiments apocalyptiques décimés par des obus et des balles, où les bâtiments pourraient être pris en compte encore debout sur les doigts.

Le pianiste trouve une nouvelle cachette mais est découvert par un officier allemand. La confrontation visuelle entre les deux, la tension de l’inattendu atteint la cote maximale lorsque les deux se rencontrent. Rien ne peut expliquer le geste allemand au pianiste juif, la seule tentative d’explication dans sa conscience de la musique et de ses effets.

4883049761 b33213a308 Le Pianiste (2002) Le Pianiste présente une nouvelle fois que le mal n’évite pas le bon. Une fois un homme digne, l’officier allemand finira par disparaître du paysage, à la dernière apparition d’être en détention. Les quelques scènes dans lesquelles les accords de piano enchantent notre ouïe sont destinées à illustrer l’importance de cet instrument pour Szpilman et au-delà. Pour lui, le piano est un aliment spirituel qui l’a aidé à survivre, alors que pour nous c’est juste un instrument à partir duquel des sons mélodieux jaillissent.

Un film sur l’Holocauste, une vision unique, Le Pianiste sensibilise avec une image particulière, réalisateur et acteur impeccable jeu réussi à battre un personnage du destin et sauver sa propre passion. Le Palm D’Or à Cannes n’est que l’aboutissement d’une production réussie qui a bénéficié d’un avantage considérable basé sur son scénario vrai.

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