Publié le : 05 janvier 20183 mins de lecture
L’histoire suit Johhny (Matt Bush), un DJ dans une station de radio locale avec un spectacle sportif. Sa passion pour sa profession ne connaît pas de limites, mais la perspective du mariage avec sa petite amie à l’université, Claire (Anna Wood), est obligé de chercher l’avenir du droit d’aide à interviewer pour le poste de superviseur dans une petite usine qui produit du carton. Mais le week-end passé loin de son entretien en attendant bien-aimé se révèle être plus éclairant pour le jeune DJ, qui a conseillé à son oncle, Terry (Edward Burns), non seulement connaître la belle Brooke (Kerry Bish), mais il se rendra compte que l’avenir que lui a imposé sa fiancée n’est qu’un chemin de souffrance.
Nice Guy Johnny est impressionné par les histoires spectaculaires brisées par l’imagination des écrivains payés travail trop bien pour z Nice Guy Johnny 7f1bacfae8 5109738569 (2010) soumis ou même rien de nouveau. Mais ce qu’Edward Burns transpose sur les petits écrans est une histoire de vie simple où se retrouvent de nombreux spectateurs. L’action se déplace un peu lentement et n’inclut pas de scènes dignes du Titanic 2, mais ce manque de dynamisme crée un lien fort spectateur-histoire. Peut-être que certaines personnes voient un moyen d’échapper au quotidien, mais parfois il est bon de regarder le quotidien d’un point de vue différent du point de vue personnel. Nice Guy Johnny parle d’un jeune homme pris entre deux mondes, forcé, à cause de l’amour, d’embrasser le dicton de sa future épouse. Cette Claire rêve de plus que Johhny ne peut lui offrir, et c’est pourquoi elle appelle l’aide de son père.
Nice Guy Johhny raconte l’histoire d’un bon gars, un jeune homme encore naïf à la vie réelle. Son chemin est mauvais, mais à la fin il trouvera que dans la vie l’accomplissement des rêves, de ce qui peut vous rendre heureux, l’emporte parfois. Sûrement le résultat est optimiste et ouvert.